OPINONS : L’AES, 2 ans d’existence entre défis, espoir et engagement constant
Aujourd’hui 16 septembre 2025, l’Alliance des États du Sahel (AES) fête ses deux ans d’existence. Deux années qui, pour certains, auraient dû être impossibles à franchir. Depuis sa création, on lui a promis la chute, on lui a prédit l’échec, on l’a attaquée avec des armes invisibles mais redoutables : la propagande, les campagnes de dénigrement, les critiques incessantes et la haine nourrie depuis l’extérieur comme de l’intérieur. Pourtant, malgré toutes ces tentatives de briser son élan, l’AES est encore là, solide, debout, et plus que jamais portée par l’espérance de ses peuples.
Ces deux années n’ont pas seulement été une résistance, elles ont été une affirmation. L’AES a prouvé que la souveraineté n’est pas un slogan, mais un choix politique, stratégique et existentiel. Elle a démontré qu’il est possible de bâtir une coopération militaire et sécuritaire sans la tutelle étrangère, de tracer une voie économique indépendante, et surtout d’incarner une idée : celle d’une Afrique qui reprend son destin en main, coûte que coûte.
Bien sûr, les attaques continuent mais Deux ans, ce n’est que le début. Mais c’est déjà la preuve que, face aux pressions extérieures, face aux menaces et face aux guerres de communication, une union née de la résistance et du refus de la soumission peut tenir bon. Et si l’AES a tenu deux ans malgré tout cela, il n’est pas exagéré de dire qu’elle peut tenir dix ans, vingt ans, et transformer à jamais l’équilibre géopolitique du continent. Merci aux populations.
Amelda Dany